Alain DELON, acteur, réalisateur et producteur, son enfance à BOURG LA REINE : « Un enfant dans la ville. »
Alain Fabien Maurice Marcel Delon naît le 8 novembre 1935 au 99 rue Houdan à Sceaux (92330), ses parents habitent alors au 5 avenue Gravereaux à l’Hay-les-Roses (94240). Il est le fils de Fabien Delon (1904-1977), directeur du cinéma de Bourg-la-Reine (92340), « Le Régina », situé au 3 rue du Chemin de Fer (actuelle rue René Roeckel) et d’Édith Arnold (1911–1995), employée le jour, dans la pharmacie Martin-Lavigne à Bourg la Reine et placeuse le soir, dans ce même cinéma dont elle avait proposé le nom. Il meurt le 18 août 2024 à Douchy-Montcorbon (45220). Voici quelques pages de son enfance jusqu’au début de sa carrière…
En 1939, après le divorce de ses parents, sa mère Edith en obtient la garde mais n’a pas le temps de l’élever à cause de son travail. Il est confié à une famille d’accueil, les Nero, qui habitent rue de la Terrasse à Fresnes (94260) et dont le père est gardien à la prison toute proche. Le 19 mai 1941, sa mère épouse en secondes noces Paul Boulogne, un commerçant boucher–charcutier de Bourg-la-Reine et Alain rejoint le domicile familial à l’age de 12 ans : « Mes parents ont divorcé quand j’avais 4 ans. Ça a été, pour moi, tragique… Je ne me souviens pas d’avoir jamais connu mes parents ensemble. Jamais! J’ai été mis en nourrice à Fresnes. Et j’ai passé une partie de mon enfance, si je puis dire, à la prison, parce que mes parents nourriciers avaient une propriété juste à côté. A Fresnes, vous savez, les gardiens ont leur maison, où ils habitent avec leur famille, leurs enfants. Je jouais avec eux dans l’enceinte de la prison. J’ai été baptisé à Fresnes. J’y suis resté jusqu’à ma première communion. J’ai vécu jusqu’à 11 ans avec mes parents nourriciers. Et puis, ils sont morts, l’homme d’abord, la femme ensuite. Et là, je suis retourné chez mon père… je crois. Je n’en suis pas sûr, parce que j’ai passé des années tantôt chez mon père, tantôt chez ma mère. » (L’Express, 10 mars 1969). Il travaille dans la boutique de son beau-père qui compte seize employés, située 79 puis 103 Grande rue (actuelle avenue du Général Leclerc) et passe un CAP de charcuterie : « Mon père tenait une charcuterie importante et dès que je fus en état de travailler, on me plaça à la cuisine pour préparer le foie d’oie et pour apprendre à couper de fines tranches de salami et des choses du même genre.». (Ciné Revue, 18 janvier 1979) – « Aujourd’hui encore je sais manier un couteau, je désosse toujours très bien. ». (Paris Match, 11 mars 2018).
Alain avec son père et sa mère. La charcuterie en 1940, Alain DELON est debout à gauche.
Alain se fait renvoyer de toutes les écoles qu’il fréquente : « On m’a donc mis en pension. Comme j’étais très turbulent, très indiscipliné, je me suis fait renvoyer. De partout. J’étais un genre de petit monstre, très sauvage. De pension en pension, je suis arrivé à Saint-Nicolas, à Igny, près de Bièvres.». (L’Express, 10 mars 1969) – « Il mettait le chambardement partout où il passait… Il a fait de nombreuses écoles. A commencer par celles de Bourg la Reine où il a changé trois fois d’écoles communales. Chaque fois, il y avait des pétitions pour le faire renvoyer. ». (Propos d’Edith Boulogne) – «… Il a fait les 400 coups et fut renvoyé de 4 ou 5 établissements. Il pissait dans les encriers ! ». (Schnock n° 37, Jean-François Delon).
Alain avec ses condisciples du collège. Avec sa classe, dans un autre établissement.
(Alain DELON, Amours et Mémoires, Denitza Bantcheva, 2023).
Il montre un don certain pour le piano qu’il avait commencé à l’âge de 5 ans : « Avec l’ouverture du « Barbier de Séville » de Rossini, je gagnais des concours d’enfants prodiges à Gaveau. Et puis, un jour, après une dispute, on m’a claqué le couvercle du clavier sur les doigts. Je n’ai plus touché un piano de ma vie. » (L’Express, 1955). En fait, Alain retrouvera les claviers d’un orgue dans le film « Doucement les basses » en 1970 et celui d’un piano dans « Le Flic » en 1971. Deux extraits de ces films dans lesquels il joue, seront utilisés dans la vidéo de promotion du chanteur, auto-compositeur et pianiste américain, Billy JOEL, pour sa chanson « Piano Man », en 1973. On le retrouvera au piano pour le lancement de la chanson Paroles… paroles… qu’il interprète en 1973 avec Dalida, puis en 1976, dans un reportage à Nice pour la télévision japonaise.
Le film « Doucement les basses » en 1970. Le film « Le Flic » en 1971.
Cette même année, la veille de son brevet, au lieu de rejoindre l’institution religieuse Saint-Nicolas d’Igny où il était pensionnaire, il fugue avec son ami Daniel Salvate qui avait un oncle à Chicago, dans le but de rejoindre Bordeaux et d’embarquer pour l’Amérique. Après avoir passé la nuit dans un cimetière, ils sont dénoncés par le cultivateur qui les avait pris en auto-stop et la police les arrête à Châtellerault : « À 14 ans, je suis parti avec un ami, lui aussi fils d’un épicier. Nous voulions aller en Amérique, à Chicago, et ouvrir une charcuterie de spécialités françaises. Et au contraire, nous avons abouti au commissariat de police de Châtellerault.». (Dragadze, 1979) – « Une fois, il a même voulu fuir aux États-Unis avec un copain et ils ont été rattrapés in extremis par la gendarmerie. ». (Schnock n° 37, Jean-François Delon) – « …C’est mon mari qui est allé les chercher. Au collège, ils ne s’étaient aperçus de rien. C’est moi qui ai prévenu le directeur. (Propos d’Edith Boulogne). Il devra attendre l’année 1964 pour réaliser son rêve et résider dans une villa avec piscine à Beverly Drive, un quartier de Los Angeles…
En 1949, il goûte pour la première fois au cinéma, en tant qu’acteur, dans Le Rapt, un court-métrage muet de 22 secondes, réalisé en 8 millimètres par Olivier Bourguignon, le père de l’un de ses amis. Il joue le rôle d’un voyou habillé d’un imperméable portant un chapeau, armé d’un pistolet et qui meurt à la fin…
Malgré le métier de son père et les relations entretenues par sa mère avec l’actrice Madeleine Lebeau et sa sœur qui habitent Bourg la Reine, celui-ci ne semble pas spécialement attiré par le 7è art : « Ma mère connaissait bien Madeleine Lebeau, une comédienne qui habitait Bourg la Reine (11 rue Lebouvier, NDLR). J’étais fiancé avec sa sœur (Marie-Therese, enterrée à Bourg la Reine, NDLR). Madeleine Lebeau était mariée à Clément Duhour, producteur de Guitry, elle était aussi la maîtresse de Marcel Achard. Une très belle femme – j’avais sa photo dans mon caisson en Indochine. Un jour, elle nous a emmenés, sa sœur et moi, sur le tournage d’un film de Guitry au Parc de Sceaux : Si Versailles m’était conté avec Daniel Gélin et plein d’autres acteurs. J’ai vu Guitry ! Mais le cinéma était un monde à part. ». (Cahiers du Cinéma, N° 501, avril 1996.). Ironie du sort, il aura l’occasion de lui donner la réplique dans Le Chemin des écoliers, tourné en mars et avril 1959. Le scénario, l’adaptation et les dialogues de ce film de Michel Boisrond, tiré du roman de Marcel Aymé, étaient de Jean Aurenche et de Pierre Bost qui repose dans le cimetière de Bourg la Reine. La famille Audibert-Bost habitait Villa Jeanne d’Arc
Devançant l’appel sous les drapeaux, il effectue, à 17 ans, son service militaire dans la Marine nationale à Toulon. Lors des virées nocturnes avec ses copains, il fréquente les quartiers chauds de la ville et fait connaissance avec des membres de la pègre locale dont un certain François Marcantoni qui défraiera la chronique judiciaire…Après avoir volé du matériel radio et pour ne pas être exclu, il rempile deux ans et est affecté à la compagnie de protection de l’arsenal de Saïgon : « Je suis arrivé en Indochine en 54, juste après Dien Bien Phu. Il n’y avait plus que des combats de rue… Mais je serais tombé en pleine guerre, j’aurais aimé ça aussi. Ce sentiment que tout peut arriver… Cette sensation de se trouver en face de ce qu’on croit être des responsabilités. En fait, on n’en a aucune, bien sûr. On n’est rien. Un gamin, un gosse. Mais on se sent un homme, bien qu’on ne le soit pas du tout. On joue les hommes, on a un fusil… ». (L’Express, 10 mars 1969) – « Un soir avec des copains, on a pris une jeep pour aller en ville sans rien dire à personne. On a eu un accident. Et comme j’étais ce que j’étais, j’ai tout pris sur mes épaules : j’ai dit que c’était moi qui conduisais. J’ai pris trois mois de prison à Saïgon. Je purge ma peine. Et tout-à-coup, je prends conscience qu’on est le 8 novembre 1955 et que ce jour-là, j’ai 20 ans. Et j’étais à 20 000 km de mes parents, et je n’avais pas d’amis autour de moi. Et des larmes ont coulé. Voilà ce que j’ai fait de mes 20 ans. » (Antenne 2, Christine Ockrent, Qu’avez-vous fait de vos ving ans ? 14 mai).
A la question « La marine a-t-elle pu le dresser ? », Sa mère répondra : « Non ! Non seulement, je téléphonais à son commandant, mais aussi à l’amiral qui commandait la flotte de Toulon puisque nous avions des amis communs et que j’avais de hautes recommandations. Mon fils, c’était sacré. Quand il était en Indochine, je lui envoyais un colis tous les 2 jours…Sans compter les mandats hebdomadaires…J’avais un ami industriel à Saigon ; je lui avais demandé d’aller voir Alain à la caserne.Il m’avait répondu par l’intermédiaire de sa femme que mon fils déchargeait les bateaux de riz la nuit ; le jour, il était en prison… ». (Propos d’Edith Boulogne.).
Alain DELON à TOULON. Alain DELON à SAIGON
Le 1er mai 1956, de retour d’Indochine, il rencontre Lucien Lejeune, un ancien quartier-maître, chef de sa compagnie : « J’ai fait la vie mais il me reste 400 000 francs. Reste avec moi. » (Le nouvel Observateur, n°226, du 10 au 16 mars 1969). Ils s’installent à l’hôtel Regina, 92, bd Barbès à Paris. Il enchaine des petits boulots : « Je pense que je vais mourir dans peu de temps, car je suis un voyou » explique-t-il au Monde. « J’en ai la mentalité. J’habite à Pigalle avec un copain, dans un hôtel qui m’a marqué. L’hôtel Régina. (…) Il y a un bar à côté de mon hôtel, un bar de voyous, Les Trois Canards. Au bout d’un ou deux mois, j’ai huit jeunes filles qui sont amoureuses de moi et qui veulent travailler pour moi. Si le cinéma n’arrivait pas là-dessus, je serais où aujourd’hui ?(Le Monde, 21 septembre 2018) – « Le seul travail que je pouvais faire, c’était aux marchés généraux de Paris. Je chargeais et déchargeais des caisses de fruits et de viande. Le soir, j’avais un autre travail. J’étais garçon dans un café (Le Colysée, NDLR) du côté des Champs-Élysées. ». (Dragadze, 1979).
Il entretient, entre autres, une liaison avec une certaine Yolanda Gigliotti qui deviendra la chanteuse Dalida : « Nous nous sommes connus bien avant cela, dans les années 50. Je vivotais, je travaillais la nuit et au petit matin je m’écroulais dans la petite chambre d’un hôtel, rue Jean-Mermoz, près des Champs-Elysées. Au même étage, dans une autre mansarde, habitait une certaine Yolanda Gigliotti. Elle venait du Proche-Orient avec, comme seul bagage, un titre de Miss Egypte 1954. Nous rêvions de gloire et de lumière. Dix ans plus tard, elle était devenue Dalida et moi Delon. Nous nous sommes retrouvés à Rome. Nous nous sommes aimés loin des regards et des paparazzis, et les rares témoins de notre liaison restèrent discrets pendant des années. Et quand Eddie Barclay et Orlando, le frère de Dalida, nous proposèrent d’enregistrer le fameux duo “Paroles, paroles” en 1973, notre complicité était intacte. Je n’ai qu’un regret, qu’un remords, ne pas l’avoir eue au téléphone avant qu’elle ne décide d’en finir avec la vie. ». (Paris Match, 20 avril 2011).
Puis il découvre Saint- Germain-des-Prés et son monde artistique. Il débute alors une relation amoureuse avec Brigitte Auber, une actrice en vogue qui avait joué dans « La main au collet » d’Alfred Hitchcock et avec Marcel Carné et Jacques Becker. Elle lui servira de guide : « Dans ces années-là, je ne suis rien. Je rentre d’Indochine. Ma rencontre avec Brigitte, rue Saint-Benoît dans une boîte de jazz, sera décisive. J’habiterai très vite chez elle…C’est à cette époque que j’ai compris qu’on n’a pas les mêmes chances au départ et qu’un physique, ça compte beaucoup. » (Paris Match, 11 mars 2018) – « J’étais au club de Saint-Germain et une amie vient me voir (Monique Aïssata dite Zizi, ancienne danseuse atteinte de polio et maîtresse d’Alain, NDLR) et me dit : ‘un jeune homme veut vous voir’. Le surlendemain, il a donné son nom. Je suis allée le voir et je tombe sur un type assis devant son troisième verre de bière…Il était un peu comateux. On s’en va. Je le fais marcher mais je me suis dit que ce gars-là avait trop bu. On marche beaucoup et je lui demande où il habite. Il me répond qu’il habite Bourg-la-Reine mais qu’il ne peut pas rentrer comme ça… Je lui ai dit : ‘venez, vous allez dormir à la maison’. Dans la nuit, il m’a rendu visite et puis ça a commencé comme ça. ». (France 2, 13h15 le dimanche, 12 septembre 2021, Brigitte Auber.).
Brigitte AUBER et Alain DELON au Festival de Cannes en 1957.
Le 2 mai 1957, elle l’entraine au Festival de Cannes. Ils séjournent dans la maison qu’elle possède à Saint-Paul-de-Vence. Il rencontre Jean-Claude Brialy qui deviendra son ami: «…Ce premier Festival reste un bon souvenir. Un soir, j’y ai rencontré le célèbre agent de Rock Hudson, Henry Wilson. Il voulait me faire tourner aux Etats-Unis, il m’a donc fait passer des essais à Rome, que j’ai réussis. J’ai reçu le fameux contrat de sept ans à Hollywood que j’ai choisi de ne pas honorer. ». (Paris Match, 15 mai 2013.) – « J’avais fait un grand film, « L’Ami de la famille, » mais partout où on passait, personne ne me regardait. Il était beau comme tout ». (ALLOCINE, 24 octobre 2014, Jean-Claude Brialy).
Par l’intermédiaire de Brigitte Auber, il rencontre l’actrice Michèle Cordoue dont il devient l’amant. Elle le présente à son mari, le réalisateur Yves Allégret, pour tourner son premier film « Quand la femme s’en mêle », en 1957. Il y joue un petit rôle aux côtés de la star Edwige Feuillère : « Je ne savais rien faire. Allégret m’a regardé comme ça et il m’a dit : « Écoute-moi bien, Alain. Parle comme tu me parles. Regarde comme tu me regardes. Écoute comme tu m’écoutes. Ne joue pas, vis ». Ça a tout changé. Si Yves Allégret ne m’avait pas dit ça, je n’aurais pas eu cette carrière ». (L’Express, 10 mars 1969).
« Le premier jour de tournage, il s’est produit un phénomène que je ressens encore intimement aujourd’hui ; dans ma première scène, je devais sortir avec Sophie Daumier d’une pâtisserie qui fait angle avenue Victor-Hugo et qui d’ailleurs existe toujours. Je portais un paquet de gâteaux. Pour la première fois, je voyais toute l’armada, la caméra, les rails de travellings, les projecteurs, la foule… Et je me suis immédiatement senti comme un poisson dans l’eau. » (Cinématographe, n°103, octobre 1984, page 4.).
Alain DELON et Sophie DAUMIER dans le film « Quand la femme s’en mêle »
Une nouvelle vie commence alors pour celui qui déclarait : « Etre un acteur, c’est de longues années de travail, c’est une carriere dans le fond et pour moi, une carrière ca représente une vie. ». (ORTF, interview de François Chalais, 1959.).
Alain et sa mère Edith.
« …Mounette (qui s’appelait Edith) m’a adoré, admiré. Elle a été si fière de ma réussite. Elle a compris très vite que je n’étais pas un gamin comme les autres. Elle aurait voulu être actrice. Elle en avait le tempérament mais la vie et un remariage en ont décidé autrement. Je suis devenu ce qu’elle avait voulu être et elle a été néanmoins heureuse de ma réussite. Je la remercie pour tout cela et pour le reste. ». (Paris Match, 11 mars 2018).
« …Cet enfant que j’ai eu, que j’ai voulu, je l’adore plus que tout au monde. Un enfant, plus il est dur, plus on s’y attache. Alain était exclusif, j’étais sa chose ; j’ai tout accepté, j’aurais tout accepté. Une femme serat rentrée par ici, une femme serait sortie par là… J’étais à lui. Il a toujours pensé qu’il était le mal aimé. C’est faux…Pour moi, il était né comédien parce qu’il entortillait les gens…Il a une gueule de cinéma et ce qu’il fait, il le fait bien… ». (Propos, d’Edith Boulogne.).
En juillet 1955 à CARNAC. 1959, avec Romy Schneider au Gala des Artistes
A CANNES, le 19 septembre 1963. A BOURG LA REINE, le 25 décembre 1985.
Rencontres entre Réginaburgiens.
En 1959, dans « Le Chemin des écoliers », Alain DELON joue avec Madeleine LEBEAU qui habite au 11 rue Lebouvier. L’adaptation et les dialogues sont de Jean AURENCHE et Pierre BOST qui habitait Villa Jeanne d’Arc et qui repose dans le cimetière de notre ville.
En 1961, dans « Quelle joie de vivre » (Che Gioia Vivere), Alain DELON joue d’après un scénario de Pierre BOST.
En 1966, dans « Paris brûle-t-il », Alain DELON joue d’après un scénario de Pierre BOST.
En 1969, le 10 mars, Alain DELON est interviewé dans « L’Express » par Pierre BILLARD, critique et historien de cinéma qui habitait 26 avenue Galois. Il repose dans le cimetière de notre ville.
En 1973, dans « Deux hommes dans la ville », Alain DELON joue avec Gérard DEPARDIEU qui se marie le 11 avril 1970 à Bourg la Reine, avec l’actrice Elisabeth GUIGNOT qui habitait 27 rue des Blagis.
En 1984, dans « Notre histoire», Alain DELON jour avec DOROTHEE (Frédérique Hoschedé) qui passa son enfance 39 boulevard Carnot à Bourg la Reine.
En 1984, dans « Notre histoire », il joue avec Philippe LAUDENBACH (neveu de Pierre FRESNAY), né le 31 janvier 1936 à Bourg la Reine, ami d’enfance d’Elisabeth GUIGNOT.
En 1997, le 1er février, dans Le Point, Alain DELON est l’objet d’un grand article « L’énigme DELON » de Pierre BILLARD.
Pierre BILLARD en 2006.
En 2008, dans « Astérix aux Jeux Olympiques », Alain DELON retrouve Gérard DEPARDIEU.
Philippe CHAPLAIN, le 23 août 2024.